Il y a des jours où vous serez motivés.
D’autres où vous ne le serez pas.
Laissez vous le temps d’observer la situation. Laissez vous le temps de questionner votre motivation.
Que ce soit pour un changement de travail, trouver un nouvel hobbit discuter de choses importantes avec un ami / un partenaire.
Le temps, lorsque l’on est confus, peut s’avérer être un très bon allier.
Cependant, si vous vous laissez du temps, ne vous complaisez pas dans la victimisation de l’inaction.
Qu’est ce que j’entends par là ?
Vous vous lancez dans un projet, quelque soit la taille, dont vous savez par avance qu’il y aura des frictions.
Des frictions qui pourraient vous ralentir. Des frictions qui pourraient vous faire douter.
Mais vous continuez, vous avancez.
Et c’est là que cela ce joue, dans l’adversité d’un projet difficile, dans la répétition des tâches nécessaires à l’achèvement de votre projet.
Ici vous avez deux solutions : abandonner ou continuer. Le cerveau adore la polarisation.
Parce que oui, dans cette situation, vous pourriez vous laisser du temps, attendre, observer. Mais.
Mais dans l’incertitude, le cerveau cherche à trouver des solutions rapides qui lui permettent de quitter la gadoue dans laquelle il se trouve.
Pour le cerveau, l’incertitude, ce n’est pas propre. Même si c’est nécessaire.
Alors il se complaît à trouver la situation difficile pour chercher des allier pour le plaindre, évidemment, quoi de mieux que d’avoir la chaleur de son entourage dans les moments difficile.
Mais attention à toujours garder une vigilance dans l’adversité. Parce que souvent, les autres ne savent pas ce que vous cherchez à vivre ou pourquoi vous le faites.
Donc oui, le soutien c’est bien, si l’on reste responsable et dans la recherche de solution dont on a le pouvoir. Sinon le cerveau se complaint et la solution de facilité reste de tout abandonner.
Parce que oui, créer une vie qui vous ressemble peut être dur.
Les choix peuvent être différents de ce qu’attendent les autres de vous, donc vous n’aurez pas toujours le soutien dont vous avez besoin.
C’est pour ça que vous devez toujours garder en tête votre pourquoi.
Petit exercice.
Trouvez votre pourquoi.
Une question, une action, une petite sieste, tout est bon pour trouvez ce qui vous motorise, ce qui vous anime.
Alors allez vous évader et demandez vous :
Pourquoi suis-je en train de faire tout ça ? Pourquoi êtes vous en train de lire cette lettre. Pourquoi vous cherchez à changer des aspects de votre vie.
Revenez dans une heure.
Une heure.
Pour la suite de cette lettre.
Bilan carbone et bilan personnel
On parle de beaucoup de soucis, mais peu de soucis personnels, les gens n’aiment pas ça, ils se sentent inconfortables dans l’émotionnel la plupart du temps.
C’est donc le moment de faire ensemble le bilan de votre pourquoi en répondant à ces questions :
Version Courte : Pourquoi est-ce que je fait ce bilan que je suis en train de faire ?
Version détaillée :
- Je me mets en condition
- Je visualise les éléments que je souhaite accomplir
- Je visualise le résultat obtenu
- Je ressent complètement ce que cela me fait vivre
- Je suis présent dans cette expérience
- Je l’amène au plus proche de la réalité
- Et je demande à mon enfant intérieur ce que cela m’a fait vivre
- Et je réponds à la question en toute liberté :
Pourquoi suis-je en train de faire ce que je suis en train de faire.
- Je me remercie ainsi que mon enfant intérieur.
Vous pouvez également partager vos expériences. Même en répondant directement à cette lettre. Je serais ravi de vous lire.
En attendant je vous souhaite une belle semaine.
Prenez soin de vous.